
Collection oscilantes, 2018
ISBN : 9782918220671
Taille : 155 x 148 mm
Langues: espagnol, français
(édition bilingue comparative)
Traduction : M. Martínez et B. Noël
Couverture : Nicholas F. Callaway
Pages : 183
Chutes / Caídas
Traduction de Meritxell Martínez et Bernard Noël
Préface de Bernard Noël
Édition bilingue (espagnol-français)
Le recueil Chutes/Caídas est composé de deux parties, « El Dorado » et « Chutes », liées par un même mouvement : les poèmes s’acheminent dans le passé que la poète essaie de reconstruire. Tombe le corps, tombent les mots, tombe la peine. Mais ils ne tombent pas de la même façon, ils ne tombent pas toujours complètement. Les poèmes défilent, les vitesses changent. Les mots deviennent de plus en plus rugueux, secs, tellement qu’il ne reste en eux que du silence. Silence et étincelles d’existence. Lumière. Une lumière neuve. Battements presque imperceptibles qui ne peuvent s’intensifier que par l’épuisement de la chute, qui nous rappellent quelque chose d’inéluctable, quelque chose qui nous encourage : nous sommes « des morts vers l’avenir ». Morts de pure vie.
« Tout concourt à ʺformer reformer / tourner retourner / ressusciterʺ comme si c’était la loi profonde de l’humain. Pourtant nul impératif ne chute d’aucun poème, pas de chant ni de critique car ce qui palpite partout c’est le désir de ʺsauter / dans une flaque de vieʺ. Ces trois derniers mots qualifient justement ce que Teresa Soto nous offre à chaque page… »
Il s’agit avant tout de cheminer vers une certaine vérité. Même si la douleur "ne s’éteint pas / tout comme la lumière", et même si les "bouches / oubliées, cousues" sont une réalité, aucun poème ne chute dans la complaisance, ni la critique. La douleur est vécue, subie mais l’impression qui domine est l’envie de vivre et l’envie de lumière.

Chutes / Caídas
Traduction de
Meritxell Martínez y Bernard Noël
Prefacio de Bernard Noël
Édition bilingue (espagnol-français)
Le recueil Chutes/Caídas est composé de deux parties, « El Dorado » et « Chutes », liées par un même mouvement : les poèmes s’acheminent dans le passé que la poète essaie de reconstruire. Tombe le corps, tombent les mots, tombe la peine. Mais ils ne tombent pas de la même façon, ils ne tombent pas toujours complètement. Les poèmes défilent, les vitesses changent. Les mots deviennent de plus en plus rugueux, secs, tellement qu’il ne reste en eux que du silence. Silence et étincelles d’existence. Lumière. Une lumière neuve. Battements presque imperceptibles qui ne peuvent s’intensifier que par l’épuisement de la chute, qui nous rappellent quelque chose d’inéluctable, quelque chose qui nous encourage : nous sommes « des morts vers l’avenir ». Morts de pure vie.
« Tout concourt à ʺformer reformer / tourner retourner / ressusciterʺ comme si c’était la loi profonde de l’humain. Pourtant nul impératif ne chute d’aucun poème, pas de chant ni de critique car ce qui palpite partout c’est le désir de ʺsauter / dans une flaque de vieʺ. Ces trois derniers mots qualifient justement ce que Teresa Soto nous offre à chaque page… »
Il s’agit avant tout de cheminer vers une certaine vérité. Même si la douleur "ne s’éteint pas / tout comme la lumière", et même si les "bouches / oubliées, cousues" sont une réalité, aucun poème ne chute dans la complaisance, ni la critique. La douleur est vécue, subie mais l’impression qui domine est l’envie de vivre et l’envie de lumière.
Bernard Noël y Teresa Soto
leen dos poemas
critiques
Collection oscilantes, 2018
ISBN : 9782918220671
Taille : 155 x 148 mm
Langues: espagnol, français
(édition bilingue comparative)
Traduction : M. Martínez et B. Noël
Couverture : Nicholas F. Callaway
Pages : 183

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